Fenêtre Mondriaan
Période
Histoires d’art
Année
Début de l’oeuvre : 18.10.2004 / Fin de l’oeuvre : 8.03.2005
Technique
Acrylique et crayons sur toile.
Dimensions
69 x 123 cm
Signature
Signa Tura
Propriété
Collection privée (Suisse)
Bibliographie
Muma. Histoires d’art, Paris / Lausanne, Somogy éditions d’art / Musée historique de Lausanne, 2006.
Schellenberg, Samuel, « Vie de châteaux », Le Courrier, 21.11.2016.
Jaunin, Françoise, « Candide chez les peintres », 24 Heures, 23.06.2006.
Guide art contemporain CH, Éditions FLAC, Lausanne, 2016.
Remarques
Mondriaan : nom civil de Mondrian
FENÊTRE MONDRIAAN (texte au crayon sur le tableau)
Une fenêtre , presque un vitrail
De gauche à droite, de haut en bas
11,43 –1,4 – 37,17 ; 14,72 – 2,28 – 19 – 1,30 – 12,7
et puis suivant le côté droit 36 – 1,30 – 5,75 – 1,75 – 5,2
Une poésie de l’inexactitude, du géométriquement injuste
(pour autant qu’on puisse parler d’injustice en géométrie)
à une exception près, de gauche à droite, un espace
virtuellement divisé en 4 parties égales (barres noires y compris),
si j’en crois la reproduction (et mes calcul[s] d’échelle).
Je ne peux pas vérifier l’original
qui se trouve (peut-être encore) à la NY.
Je me demande bien si je ne devrais pas, pour être juste,
mettre un titre en anglais, à ce tableau syncrétique (le mien donc)
comme font les bons élèves de L’ÉCOLE.
Mais, j’ai une faiblesse toute particulière pour le croûtonesque,
Cet anachronisme récalcitrant et bête qui m’habite.
Maintenant, je suis devant la Dent Blanche
Entre Olèïna (Evolène) et Arolla.
Et,
les deux tableaux se sont superposés,
Perdant, dans leur union, les rouge, bleu, jaune et blanc purs,
suivant les étranges raccourcis que mon cerveau
katatonique* m’impose.
D’autres l’ont fait, avec plus de bonheur ou de pertinence,
Disons au bon moment historique.
Lichtenstein, Sylvie Fleury, Frédéric Pajak pour ne citer que ceux-là.
C’est que j’aime bien aller quand les autres en reviennent.
Comme n’aurait jamais dit l’AUTRE : je ne trouve pas, je cherche.
Plutôt, j’erre, ingénu, maladroit, délicieusement prétentieux.
Qui m’en voudrait d’autant d’inadvertance ?
*Référence à l’« Iconothèque Katatonique » de l’exposition au Musée
historique de Lausanne.
Schellenberg, Samuel, « Vie de châteaux », Le Courrier, 21.11.2016.
Jaunin, Françoise, « Candide chez les peintres », 24 Heures, 23.06.2006.
Guide art contemporain CH, Éditions FLAC, Lausanne, 2016.
Mondriaan : nom civil de Mondrian
FENÊTRE MONDRIAAN (texte au crayon sur le tableau)
Une fenêtre , presque un vitrail
De gauche à droite, de haut en bas
11,43 –1,4 – 37,17 ; 14,72 – 2,28 – 19 – 1,30 – 12,7
et puis suivant le côté droit 36 – 1,30 – 5,75 – 1,75 – 5,2
Une poésie de l’inexactitude, du géométriquement injuste
(pour autant qu’on puisse parler d’injustice en géométrie)
à une exception près, de gauche à droite, un espace
virtuellement divisé en 4 parties égales (barres noires y compris),
si j’en crois la reproduction (et mes calcul[s] d’échelle).
Je ne peux pas vérifier l’original
qui se trouve (peut-être encore) à la NY.
Je me demande bien si je ne devrais pas, pour être juste,
mettre un titre en anglais, à ce tableau syncrétique (le mien donc)
comme font les bons élèves de L’ÉCOLE.
Mais, j’ai une faiblesse toute particulière pour le croûtonesque,
Cet anachronisme récalcitrant et bête qui m’habite.
Maintenant, je suis devant la Dent Blanche
Entre Olèïna (Evolène) et Arolla.
Et,
les deux tableaux se sont superposés,
Perdant, dans leur union, les rouge, bleu, jaune et blanc purs,
suivant les étranges raccourcis que mon cerveau
katatonique* m’impose.
D’autres l’ont fait, avec plus de bonheur ou de pertinence,
Disons au bon moment historique.
Lichtenstein, Sylvie Fleury, Frédéric Pajak pour ne citer que ceux-là.
C’est que j’aime bien aller quand les autres en reviennent.
Comme n’aurait jamais dit l’AUTRE : je ne trouve pas, je cherche.
Plutôt, j’erre, ingénu, maladroit, délicieusement prétentieux.
Qui m’en voudrait d’autant d’inadvertance ?
*Référence à l’« Iconothèque Katatonique » de l’exposition au Musée
historique de Lausanne.
FENÊTRE MONDRIAAN (texte au crayon sur le tableau)
Une fenêtre , presque un vitrail
De gauche à droite, de haut en bas
11,43 –1,4 – 37,17 ; 14,72 – 2,28 – 19 – 1,30 – 12,7
et puis suivant le côté droit 36 – 1,30 – 5,75 – 1,75 – 5,2
Une poésie de l’inexactitude, du géométriquement injuste
(pour autant qu’on puisse parler d’injustice en géométrie)
à une exception près, de gauche à droite, un espace
virtuellement divisé en 4 parties égales (barres noires y compris),
si j’en crois la reproduction (et mes calcul[s] d’échelle).
Je ne peux pas vérifier l’original
qui se trouve (peut-être encore) à la NY.
Je me demande bien si je ne devrais pas, pour être juste,
mettre un titre en anglais, à ce tableau syncrétique (le mien donc)
comme font les bons élèves de L’ÉCOLE.
Mais, j’ai une faiblesse toute particulière pour le croûtonesque,
Cet anachronisme récalcitrant et bête qui m’habite.
Maintenant, je suis devant la Dent Blanche
Entre Olèïna (Evolène) et Arolla.
Et,
les deux tableaux se sont superposés,
Perdant, dans leur union, les rouge, bleu, jaune et blanc purs,
suivant les étranges raccourcis que mon cerveau
katatonique* m’impose.
D’autres l’ont fait, avec plus de bonheur ou de pertinence,
Disons au bon moment historique.
Lichtenstein, Sylvie Fleury, Frédéric Pajak pour ne citer que ceux-là.
C’est que j’aime bien aller quand les autres en reviennent.
Comme n’aurait jamais dit l’AUTRE : je ne trouve pas, je cherche.
Plutôt, j’erre, ingénu, maladroit, délicieusement prétentieux.
Qui m’en voudrait d’autant d’inadvertance ?
*Référence à l’« Iconothèque Katatonique » de l’exposition au Musée
historique de Lausanne.